jeudi 21 mars 2013

Le Congrès de la CGT se déroule actuellement à Toulouse



- Les rendez-vous du congrès CGT qui se déroule actuellement, du 18 au 22 mars 2013 à Toulouse… -


Le Médef, comme ses compères européens poursuit la liquéfaction du marché du travail. Selon l’organisme collecteur des cotisations sociales de l’URSAFF, sur les 21 millions de contrats de travail, hors intérim, signés en 2011, 17 millions étaient des CDD (82%) dont 9,5 millions étaient inférieurs ou égaux à une semaine (55%), ou d’un jour (31% ) des CDD signés. Les embauches en CDI ont chuté de 10,5% en 2012. L’accord patronal CFDT-CFTC-CGC, s’il devient la loi, va renforcer la précarité du travail, le chômage et le pouvoir des licencieurs.
Peur, désinformation, austérité sans fin. C’est avec cette sainte trinité libérale que le congrès national des syndicats de la CGT a rendez-vous.

"Impact" CGT, mars 2013

http://www.50congres.cgt.fr/

mercredi 13 mars 2013

UN ANI QUI NOUS VEUT DU MAL

En cliquant sur le lien vous trouverez un film qui vous aidera à mieux comprendre les enjeux de l'ANI :

 https://docs.google.com/file/d/0B2y-MWq73ha3MHlEdHNacFdYRTQ/edit?usp=sharing

SAMEDI 23 MARS l'AG de l'UNION LOCALE

Le samedi 23 mars de 10h à 12h aura lieu  l'Assemblée Générale de l'Union locale de Blain au centre Henry DUNANT à Blain.

Cette assemblée générale sera l'occasion pour les syndiqués de l'union locale de Blain de faire le bilan de l'année 2012 et de préparer 2013.


mercredi 16 janvier 2013

Accord national interprofessionnel du 11 janvier Une grave régression des droits sociaux


Ce texte marque une grave régression des droits sociaux des salariés et va a contrario des objectifs fixés par la « Grande Conférence sociale » et celle de la « lutte contre la pauvreté ». Il contient de multiples dispositions pour faciliter les licenciements et accentuer la flexibilité.
Le chantage à l’emploi est généralisé par des accords permettant la baisse des salaires et l’augmentation du temps de travail, ce sont les accords de « compétitivité/emploi » voulus par Nicolas SARKOZY.
La thèse du MEDEF est le principal fil conducteur de cet accord : « les licenciements d’aujourd’hui feront les emplois de demain ».
Il serait inconcevable que la majorité parlementaire et le Gouvernement, issus des élections de mai 2012, entérinent dans la loi les reculs sociaux dictés par le MEDEF.
Le Gouvernement, qui se dit attaché au Dialogue social, doit prendre en compte le rejet de cet accord par les syndicats représentant bien plus de salariés que les syndicats potentiellement signataires.
La CGT attend du gouvernement un projet de loi d’une toute autre nature, qui protège les salariés contre les licenciements et la précarité.